plusieur survibration ...?
- BenoîtZinho
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plusieur survibration ...?
je sai kon poeu faire plusieur surbivration diférente ac un didgeridoo, mais moi jarrive a en faire kune, komment on fai pr en faire dotre ! c koi ki change ds la façon de faire ? lèvre, air, ?
explikez moi svp!!!
explikez moi svp!!!
Re: plusieur survibration ...?
La position de tes lèvres je crois bien, enfin, je ne suis pas un expert des survibes
- Vince
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Re: plusieur survibration ...?
Déja çà dépend de ton didj : on en sort + facilement sur des graves (do, ré) mais bon deux c le minimum syndical. Y a déjà un post là dessus dans conseils techniques.
Kan tu maitrise bien la 1ere, réduis l'ouverture de tes lèvres en les contractant et "tire" le son vers le bas.
Kan tu maitrise bien la 1ere, réduis l'ouverture de tes lèvres en les contractant et "tire" le son vers le bas.
Bon souffle à tous !
- oboreal
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Re: plusieur survibration ...?
moi j'en ai deux, la troisième est pas encore sortie mais je déséspère pas... Faut arriver à avoir une bonne maitrise de la première et la seconde viens ensuite assez naturellement, pour ma part, j'ai plus de faciliter à enchainer la première et la deuxième que de sortir la deuxième directement. Voilou, je crois que le didj n'est pas determinant même si ca peut aider, un trompetiste cet été a sorti plus d trois survibes nickel sur le stand de martika, et pour le coup sur un teck indonésien non retravaillé. Donc ca viens plus des lèvres du joueur que du didj je pense, encore que la forme de l'embouchure doit avoir son importance. :8:
- BenoîtZinho
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Re: plusieur survibration ...?
oué mé concrétement c koi la difference ?
- David
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Re: plusieur survibration ...?
Il faut rentrer légèrement la lèvre inférieure (comme pour un "f"). La tension des lèvres est plus forte aussi.
Avant de s'attaquer à la deuxième il faut déjà avoir une bonne maitrise de la 1ière. Et là ça vient tout seul.
David
Avant de s'attaquer à la deuxième il faut déjà avoir une bonne maitrise de la 1ière. Et là ça vient tout seul.
David
- oboreal
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Re: plusieur survibration ...?
la musculature joue beaucoup g l'impression, donc com toujours question de temps et d'entrainement, pour pouvoir serrer les lèvres fort et précisément pour faire un son bien net, ce qui est pas évident tt de suite...
- Leto
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Re: plusieur survibration ...?
Kon on veut faire la seconde, fo faire gaffe de pas tro forcer sinon on "en saute une" et du coup on fait la troisième... certaines ne sont pas si "espacées" ke ca..
- erwann
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Re: plusieur survibration ...?
oui et d'ailleurs, je crois que c la véritable première qui est dure à sortir, sur mon euca(en C), j'arrivais à faire un survibe en F à l'octave, mais je m suis apercu qu'il y en avait une autre, toujours en F, ds l'octave du bourdon de base. Vous me suivez ? On dirait en fait une survibration en souspression ou un truc du style si ca existe. J'en ai aussi trouvé une troisième (note pas encore assez stable pour etre identifiée) plus aigu que le F aigu.
Vous avez déjà remarqué ca chez vous ?
Vous avez déjà remarqué ca chez vous ?

- David
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Re: plusieur survibration ...?
En effet Erwann, on peut obtenir une sur-vibration un octave en-dessous de la première, mais généralement elle est difficile à réalisser proprement. Elle fait vite son de chiote.
David
David
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Re: plusieur survibration ...?
Un PETIRECAPITULOLATIF (ouijesaiscélon)
Titou : “Les survibrations (anglais hoot, littéralement «mugissement » ou « coup de klaxon »)
En augmentant la pression du souffle et en pinçant les lèvres, comme dans une trompette, on obtiens d'autres notes du didgeridoo. Le bois vibre différemment par rapport à la vibration de base : la vibration plus rapide et généralement moins ample. La première survibration est à peu près deux tons au dessus de la vibration de base, mais sa hauteur exacte dépend du didgeridoo. La deuxième est à peu près à l'octave, les autres encore plus haut.
La survibration “pépin” s'obtient en faisant le geste de cracher un pépin de fruit : la langue libère brusquement l'air. C'est une forme assez facile à maîtriser et à insérer dans le jeu.
la vibration de base étant la plus basse que peut donner le didgeridoo, il n'existe pas de sous-vibration.”
Pour les surpressions, il faut d’abord bien positionner ses lèvres : la lèvre supérieure vient couvrir la lèvre inférieure. Bibix m’avait fait remarquer qu’une connaissance faisant de la flûte traversière faisait d’abord ce son là. Vous avez déjà vu les position des lèvres de tels joueurs ? On peut reculer la mâchoire inférieure afin de faciliter cela. La lèvre inférieure se retrouve alors quasiment derrière les dents supérieures, et l’air expulsé ‘a qu’une seul solution : descendre !
La deuxième chose à faire (ça semble simple comme ça, non ?) est de balancer tout ce que vous avez ! Ca ne s’appelle pas une surpression pour rien ! On fait donc en général ce son avec les joues serrées. Cependant, vous vous apercevrez par la suite que c’est plus la position relative des lèvres qui fait le son de trompette, et qu’il est pour certains plus facile de commencer sans souffler fort. Mais certains pensent qu’il vaut mieux commencer à faire les surpressions avec un minimum d’air qui sort ; Jeberuth : d'abord maîtriser le souffle filé (minimum d'air pour faire résonner le didge en survib) pour comprendre le placement des lèvres. Ensuite Patience et Persévérence seront tes nouveaux amis ... Danielb a dit sur FD : Pour obtenir la survibration je suis obligé de faire comme si je chassais violemment un morceau de fil ou de n'importe quelle autre saloperie que j'aurais dans la bouche. Sans doute en coupant l’air avec la langue, ce qui crée -mine de crayon- une faible surpression avant le largage !
Un troisième ingrédient que j’ai remarqué chez Allan Dargin (mais lui a un souffle vraiment très puissant), est que l’on peut grimacer pour les surpressions, notamment les aigues…Vous savez, quand vous avez tout plein de rides sur le nez, entre les yeux. J’imagine que cela doit aider à tendre la lèvre supérieure. En tous cas, ça marche, surtout quand vos muscles labiaux commencent à fatiguer. D’autre part, il semble (beaucoup) plus facile de faire ce son quand on joue de face, sur un petit didje de diamètre pas trop grand, encore que certains (vince de FD) considère que ça srt mieux sur un didje de note fondamentale basse (la, do, do#, ré)
J’avais déjà parlé de la position relative du didje et de la tête, ce qui a pour but unique de plaquer la lèvre supérieure contre la mâchoire du haut : on regarde vers le haut et/ou on baisse le didje (on l’incline vers le bas ou on baisse l’embouchure en gardant la même position des lèvres dedans). Les pros ne bougent quasiment pas la tête ou le didje, et la position des mâchoires semblent alors suffire, c’est ce que j’avis remarqué chez un des joueur d’Umkulu ex-Boomerang (un très bon groupe, vivant, qui s’implique à fond et vous implique à fond aussi !).
Il semblerait qu’il existe une multitude de surpressions (Allan Dargin en sortirait jusqu’à 7 !!), obtenue en envoyant une plus grande pression dans les aiguë, et en pinçant de plus en plus la lèvre supérieure, ce qui fait que l’air part de plus en plus vers le bas. Mais ceci est mon point de vue : pour une surpression “médiale”, j’ai l’impression que l’air part tout simplement droit devant ! Il faut alors bien s’entraîner à ce que l’air sorte par une petite fente au milieu des lèvres. On peut également faire sortir l’air par le haut : à chacun son feeling. Iochi pense que “ce sont des didj. de très bonnes qualités qui ont plus de trois TUT, et qu’il faut déjà avoir une P... de technique pour y arriver. Les hauteurs de tuut varient suivant la pression du diaphragme et des lèvres, on arrive à une technique de trompettiste (qui jouent beaucoup plus serré que les joueurs de didj.). Un truc important: Je faisais au début le deuxième tuut en rentrant un petit peu la lèvre inférieure. Mais j'ai du ré apprendre la technique pour le troisième : tes lèvres doivent rester un maximum parallèle”.
On pourrait dire aussi qu’il existe une sorte de sous-surpression (assez grave), ou l’air part franchement vers le haut. La technique est de faire une surpression en prenant la position d’une soupression ! Je vous laisse passer au paragraphe suivant.
De même, je ne sais comment la nommer, mais on pourrait dire qu’il existe une sur-surpression, pas forcément très aigue, mais vraiment du bout des lèvres, un peu comme le son labial, mais en surpression.
Petit conseil : si ça n’est pas votre fort, alors essayer de pratiquer un peu la surpression à chaque fois que vous jouez…un minimum. Pour vraiment bien l’apprécier, faites un morceau uniquement en surpression, et si ça ne vous suffit pas, essayez la Panthère Rose, qui vous fera travailler différentes surpressions, ainsi que l’enchaînement entre elles. Et là…ça y est…l’apothéose…En plus, ça vous détend les joues, qui n’en seront que plus grosses et élastiques…A quand la grenouille qui se veut aussi grosse que le bœuf ?
Comment intégrer des survibrations dans le jeu normal sans interruption du son ? Jeberuth : “Oui, tu peux garder la même position de bouche (celle où tu es le plus à l'aise, mais le jeu de face reste la plus efficace). En maîtrisant le souffle filé, tu t'apercevras que le pincement des lèvres seul peut déclencher une survib. Il n'y aura ainsi pas d'interruption du souffle (contrairement à la survib plosive avec des 'p' ou des 'b' qui oblige les lèvres à se coller). Avec cette méthode, il y aura des 'pfffffffft' avant et après la survib qui s'estomperont avec la pratique. Pour les éviter, il faut bien sur serrer et desserrer les lèvres très rapidement, d'où l'importance de connaître le pincement idéal des lèvres afin de réduire ces transitions.“ De plus, il vaut mieux effectivement savoir faire les survibrations sans souffler trop fort, sinon la différence de pression entre son fondamental et survib est un obstacle de plus à franchir pour la continuité du son. David pense que “pour enchainer bourdon-survibration on peut aussi le faire en venant placer le bout de la langue au bord des lèvres, et au moment où l'on retire la langue serrer les lèvres pour réaliser la survibration. La transition est plus brutale (moins fluide) que la méthode de jeberuth, c'est une méthode plus rythmique. Mais il est important de maitriser la méthode de jeberuth pour que celle-ci soit jolie”.
Et puis, dernière chose…mettez vous au clairon ou à la trompette !!
Titou : “Les survibrations (anglais hoot, littéralement «mugissement » ou « coup de klaxon »)
En augmentant la pression du souffle et en pinçant les lèvres, comme dans une trompette, on obtiens d'autres notes du didgeridoo. Le bois vibre différemment par rapport à la vibration de base : la vibration plus rapide et généralement moins ample. La première survibration est à peu près deux tons au dessus de la vibration de base, mais sa hauteur exacte dépend du didgeridoo. La deuxième est à peu près à l'octave, les autres encore plus haut.
La survibration “pépin” s'obtient en faisant le geste de cracher un pépin de fruit : la langue libère brusquement l'air. C'est une forme assez facile à maîtriser et à insérer dans le jeu.
la vibration de base étant la plus basse que peut donner le didgeridoo, il n'existe pas de sous-vibration.”
Pour les surpressions, il faut d’abord bien positionner ses lèvres : la lèvre supérieure vient couvrir la lèvre inférieure. Bibix m’avait fait remarquer qu’une connaissance faisant de la flûte traversière faisait d’abord ce son là. Vous avez déjà vu les position des lèvres de tels joueurs ? On peut reculer la mâchoire inférieure afin de faciliter cela. La lèvre inférieure se retrouve alors quasiment derrière les dents supérieures, et l’air expulsé ‘a qu’une seul solution : descendre !
La deuxième chose à faire (ça semble simple comme ça, non ?) est de balancer tout ce que vous avez ! Ca ne s’appelle pas une surpression pour rien ! On fait donc en général ce son avec les joues serrées. Cependant, vous vous apercevrez par la suite que c’est plus la position relative des lèvres qui fait le son de trompette, et qu’il est pour certains plus facile de commencer sans souffler fort. Mais certains pensent qu’il vaut mieux commencer à faire les surpressions avec un minimum d’air qui sort ; Jeberuth : d'abord maîtriser le souffle filé (minimum d'air pour faire résonner le didge en survib) pour comprendre le placement des lèvres. Ensuite Patience et Persévérence seront tes nouveaux amis ... Danielb a dit sur FD : Pour obtenir la survibration je suis obligé de faire comme si je chassais violemment un morceau de fil ou de n'importe quelle autre saloperie que j'aurais dans la bouche. Sans doute en coupant l’air avec la langue, ce qui crée -mine de crayon- une faible surpression avant le largage !
Un troisième ingrédient que j’ai remarqué chez Allan Dargin (mais lui a un souffle vraiment très puissant), est que l’on peut grimacer pour les surpressions, notamment les aigues…Vous savez, quand vous avez tout plein de rides sur le nez, entre les yeux. J’imagine que cela doit aider à tendre la lèvre supérieure. En tous cas, ça marche, surtout quand vos muscles labiaux commencent à fatiguer. D’autre part, il semble (beaucoup) plus facile de faire ce son quand on joue de face, sur un petit didje de diamètre pas trop grand, encore que certains (vince de FD) considère que ça srt mieux sur un didje de note fondamentale basse (la, do, do#, ré)
J’avais déjà parlé de la position relative du didje et de la tête, ce qui a pour but unique de plaquer la lèvre supérieure contre la mâchoire du haut : on regarde vers le haut et/ou on baisse le didje (on l’incline vers le bas ou on baisse l’embouchure en gardant la même position des lèvres dedans). Les pros ne bougent quasiment pas la tête ou le didje, et la position des mâchoires semblent alors suffire, c’est ce que j’avis remarqué chez un des joueur d’Umkulu ex-Boomerang (un très bon groupe, vivant, qui s’implique à fond et vous implique à fond aussi !).
Il semblerait qu’il existe une multitude de surpressions (Allan Dargin en sortirait jusqu’à 7 !!), obtenue en envoyant une plus grande pression dans les aiguë, et en pinçant de plus en plus la lèvre supérieure, ce qui fait que l’air part de plus en plus vers le bas. Mais ceci est mon point de vue : pour une surpression “médiale”, j’ai l’impression que l’air part tout simplement droit devant ! Il faut alors bien s’entraîner à ce que l’air sorte par une petite fente au milieu des lèvres. On peut également faire sortir l’air par le haut : à chacun son feeling. Iochi pense que “ce sont des didj. de très bonnes qualités qui ont plus de trois TUT, et qu’il faut déjà avoir une P... de technique pour y arriver. Les hauteurs de tuut varient suivant la pression du diaphragme et des lèvres, on arrive à une technique de trompettiste (qui jouent beaucoup plus serré que les joueurs de didj.). Un truc important: Je faisais au début le deuxième tuut en rentrant un petit peu la lèvre inférieure. Mais j'ai du ré apprendre la technique pour le troisième : tes lèvres doivent rester un maximum parallèle”.
On pourrait dire aussi qu’il existe une sorte de sous-surpression (assez grave), ou l’air part franchement vers le haut. La technique est de faire une surpression en prenant la position d’une soupression ! Je vous laisse passer au paragraphe suivant.
De même, je ne sais comment la nommer, mais on pourrait dire qu’il existe une sur-surpression, pas forcément très aigue, mais vraiment du bout des lèvres, un peu comme le son labial, mais en surpression.
Petit conseil : si ça n’est pas votre fort, alors essayer de pratiquer un peu la surpression à chaque fois que vous jouez…un minimum. Pour vraiment bien l’apprécier, faites un morceau uniquement en surpression, et si ça ne vous suffit pas, essayez la Panthère Rose, qui vous fera travailler différentes surpressions, ainsi que l’enchaînement entre elles. Et là…ça y est…l’apothéose…En plus, ça vous détend les joues, qui n’en seront que plus grosses et élastiques…A quand la grenouille qui se veut aussi grosse que le bœuf ?
Comment intégrer des survibrations dans le jeu normal sans interruption du son ? Jeberuth : “Oui, tu peux garder la même position de bouche (celle où tu es le plus à l'aise, mais le jeu de face reste la plus efficace). En maîtrisant le souffle filé, tu t'apercevras que le pincement des lèvres seul peut déclencher une survib. Il n'y aura ainsi pas d'interruption du souffle (contrairement à la survib plosive avec des 'p' ou des 'b' qui oblige les lèvres à se coller). Avec cette méthode, il y aura des 'pfffffffft' avant et après la survib qui s'estomperont avec la pratique. Pour les éviter, il faut bien sur serrer et desserrer les lèvres très rapidement, d'où l'importance de connaître le pincement idéal des lèvres afin de réduire ces transitions.“ De plus, il vaut mieux effectivement savoir faire les survibrations sans souffler trop fort, sinon la différence de pression entre son fondamental et survib est un obstacle de plus à franchir pour la continuité du son. David pense que “pour enchainer bourdon-survibration on peut aussi le faire en venant placer le bout de la langue au bord des lèvres, et au moment où l'on retire la langue serrer les lèvres pour réaliser la survibration. La transition est plus brutale (moins fluide) que la méthode de jeberuth, c'est une méthode plus rythmique. Mais il est important de maitriser la méthode de jeberuth pour que celle-ci soit jolie”.
Et puis, dernière chose…mettez vous au clairon ou à la trompette !!

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- Le polyglotte||La polyglotte
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Re: plusieur survibration ...?
merci d'avoir pri le temps man :=)
Re: plusieur survibration ...?
Yeah le bouddidje !!
Trop fort man (mais j'ai trop le flemme de tout lire :4: :4: :4: :4: )
Trop fort man (mais j'ai trop le flemme de tout lire :4: :4: :4: :4: )
- Biolodidje
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Re: plusieur survibration ...?
Ben en fait j'ai pris le temps pour un peu toutes les techniques, et ce sera p-ê pour le projet FD...A voir? Seb? T'es par là? :11:

- BenoîtZinho
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Re: plusieur survibration ...?
bravissimo!!!! super synthèse mek!!
yes c le genre de truk ki fo pr le projet FD!!!!!
ps: d'ailleur ceux kon pa encore choisi leur equipe dépéché vous kon puisse commencé vite!!
@+
yes c le genre de truk ki fo pr le projet FD!!!!!
ps: d'ailleur ceux kon pa encore choisi leur equipe dépéché vous kon puisse commencé vite!!
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