Opposition hoots/sous-vibrations
Publié : sam. 03 mars 2012, 11:56
J'ai remarqué un truc il y a quelques jours en jouant : après avoir fait des sous-vibrations, j'ai nettement plus de mal à sortir les hoots sur mon didgeridoo...
Il m'a fallut tatouiller un peu pour en comprendre la raison. Lorsque je fais des sous-vibrations, j'ai tendance à remonter ma bouche dans l'embouchure. Ainsi, l'embouchure est majoritairement recouverte par la lèvre inférieure, ce qui me permet de développer les sous-vibs avec finesse en abaissant plus ou moins la mâchoire (je peux isoler sans soucis 2 sous-vibrations, 3 si je suis en forme et motivé). La contrepartie est que je sors à peine 1 ou 2 hoots, et qu'ils ne sont pas très jolis (son qui grésille, hoot difficile à faire sortir et à maintenir...).
... Parce que pour les hoots, en fait, c'est exactement l'inverse : pour arriver à choper le plus de hoots et avoir un son le plus pur possible, je dois descendre la bouche sur l'embouchure et de façon à que celle-ci soit recouverte aux 2/3 par la lèvre supérieure. Je peux ainsi chopper 3 hoots sans trop soucis... mais pour la sous-vibration, ce n'est même plus la peine d'y penser, je n'en fais plus qu'une seule et elle n'est pas fantastique.
Ma question est : est-ce qu'on peut y faire quelque chose ? Avoir un jeu riche en sous-vibrations condamne-t-il à faire l'impasse sur les hoots, et vice-versa ? Ou est-ce qu'avec l'habitude, plus un travail sur la musculation/souplesse des lèvres, on peut arriver à concilier les deux ?
Je me suis demandé également si ce n'était pas tout simplement un soucis d'embouchure. Elle est peut-être trop petite, et une embouchure plus grande de quelques millimètres supplémentaires résoudrait mon problème en laissant plus de jeu autour de mes lèvres ? (sans aller jusqu'à une grosse embouchure ovale à la William Thoren...
).
Manque de bol, je ne peux pas trop tester différents diamètres pour savoir lequel me conviendrait le mieux, j'ai un travel didge muni une embouchure non modulable de 3 cm.
Il m'a fallut tatouiller un peu pour en comprendre la raison. Lorsque je fais des sous-vibrations, j'ai tendance à remonter ma bouche dans l'embouchure. Ainsi, l'embouchure est majoritairement recouverte par la lèvre inférieure, ce qui me permet de développer les sous-vibs avec finesse en abaissant plus ou moins la mâchoire (je peux isoler sans soucis 2 sous-vibrations, 3 si je suis en forme et motivé). La contrepartie est que je sors à peine 1 ou 2 hoots, et qu'ils ne sont pas très jolis (son qui grésille, hoot difficile à faire sortir et à maintenir...).
... Parce que pour les hoots, en fait, c'est exactement l'inverse : pour arriver à choper le plus de hoots et avoir un son le plus pur possible, je dois descendre la bouche sur l'embouchure et de façon à que celle-ci soit recouverte aux 2/3 par la lèvre supérieure. Je peux ainsi chopper 3 hoots sans trop soucis... mais pour la sous-vibration, ce n'est même plus la peine d'y penser, je n'en fais plus qu'une seule et elle n'est pas fantastique.
Ma question est : est-ce qu'on peut y faire quelque chose ? Avoir un jeu riche en sous-vibrations condamne-t-il à faire l'impasse sur les hoots, et vice-versa ? Ou est-ce qu'avec l'habitude, plus un travail sur la musculation/souplesse des lèvres, on peut arriver à concilier les deux ?

Je me suis demandé également si ce n'était pas tout simplement un soucis d'embouchure. Elle est peut-être trop petite, et une embouchure plus grande de quelques millimètres supplémentaires résoudrait mon problème en laissant plus de jeu autour de mes lèvres ? (sans aller jusqu'à une grosse embouchure ovale à la William Thoren...

Manque de bol, je ne peux pas trop tester différents diamètres pour savoir lequel me conviendrait le mieux, j'ai un travel didge muni une embouchure non modulable de 3 cm.